caractère & physique • (10 lignes) Qui suis-je réellement? Je ne sais pas réellement qui je suis,  essayant toujours d’améliorer mes défauts lorsque je les remarque, mais certaine valeurs seront toujours présent malgré le peu de gens qui puissent comprendre pourquoi je pense ainsi, surtout après l'enfance que j'ai vécu. Enfin, parlons de ce que je suis et arrêtons de tourner autour du pot.

Je me considère comme une personne gentille. Je tente d'aider ceux dans le besoin et de donner le temps à mes amis et à ceux qui n'ont pas l'air d'être dans leur assiette. J'aime mon travail pour cela, les personnes viennent souvent se bourrer la gueule dû à leurs problèmes et donc, je peux les influencer légèrement ainsi, dans leur choix de vie. Certains me donnent des rappels et ça me rend en quelque sorte heureux. Je suis une personne plutôt émotive, bien que je ne le montre pas. Je ne pleurai probablement jamais devant quelqu'un, trouvant que ça sert à rien. Pourtant, si un personne se force à ne pas pleurer devant moi, cela va seulement m'emmerder et me faire sentir mal pour cette personne. Je ne considère pas que j'ai besoin d'aide, même quand j'en démontre la nécessité. Je ne donnerai pas le poids que j'ai sur les épaules à quelqu'un, mais je désire souvent que les autres m'en mettent. Je veux être là pour mes amis ou mes amours et je suis prêt à risquer ma vie pour eux. Souvent, c'est bien ce qu'on remarque, je ne m'occupe plus de moi qu'après un moment et c'est probablement pour cela que mes amis viennent chez moi de temps en temps, pour voir ce que j'ai à manger ou bien si c'est un vrai bordel et si ça l'est, ils m'aident à ranger. J'aime mes potes, mais je les trouve collant parfois. Je me dis que je pourrais vivre sans leur aide, mais cela fait toujours du bien de se faire chouchouter comme ils le font avec moi.

Enfin, je me dois de dire que je suis une personne qui n'aime pas que l'on emmerde ceux qui me tiennent à coeur, mais pas du tout. Je suis quelqu'un de protecteur et de, oui, je l'avoue, légèrement possessif. J'aime ce qui est à moi en quelque sorte, enfin, je ne laisserai jamais un de mes amis subir une injustice sous mes yeux. J'essayerai toujours de faire en sorte de les venger, c'est un peu paradoxale. Je prend beaucoup plus soin d'eux que moi-même et c'est un fait, non pas que je me vante. De toute façon, ce n'est pas une qualité que de se laisser presque crever sans faire exprès, à force d'être trop occuper avec ses amis. Enfin, je suis légèrement jaloux en amour, mais je m'efforce de faire confiance aux autres et donc de ne pas voir tout le monde comme des voleurs de copain ou de copine.

Je ne me bats pas avec une fille, c'est simple. Aussi forte peut elle être, je ne vais, en aucun cas, vouloir lui faire de mal si je me défend d'une quelconque façon. On m'a appris à ne pas faire mal à la gente féminine, alors je ne le fais pas, car ce sont des êtres sensibles qui n'ont pas besoin de se bagarrer comme nous, les mecs. Cela va de même pour les personnes trop faibles physiquement. Je ne m'abaisserai pas à un niveau où je sais que je pourrais le tuer si je le voulais. Ça ne me servirait strictement à rien de blesser une personne qui ne peut pas rendre mes coups... Enfin, je suis peut-être un peu masochiste ou quelque chose dans le genre, mais j'ai mes valeurs et je me comprend ainsi.

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Je me considère comme une personne plutôt belle, mais souvent, les gens m'évitent au premier regard dû à ma grandeur plus élevée que la moyenne, à mes muscles tout de même bien développé et surtout, je crois, à mon regard blasé qui se concorde bien avec mon visage sans joie,la majorité du temps, en particulier lorsque je travaille. Je suis apte à sourire, hein? Et cela diminue justement les traits brutes sur mon visage,  qui me laissent paraître plus doux malgré tout.

Parlons de mes couleurs maintenant. Ma peau blanche semble douce au touché, très douce malgré mes mains très grande qui sont légèrement rugueuse. Mes yeux jaunes, légèrement plus petit que la majorité, peut vous donner facilement froid dans le dos. Le feu à teint mes cheveux en rouge, qui sont lever vers le ciel pour des raisons pratique et esthétique, sauf deux mèches de chaque côté de mon visage.

Je porte de tout, si vous me le demandez, sauf des jupe et des robes, hein. J'aime les chandail blanc du moins et les pantalons confortables. Une chose ne change pas, cependant, et celle si est mon anneau que je porte vers le haut de mon oreille gauche. J'ai ça depuis très jeune, probablement le seul bien que mes parents m'ont laissés.

Passons à mon côté animal. Des ailes rouge comme mon corps ornes mon dos écaillé en une sorte de cuire. Je mesure peut-être 3 mètres de hauteur et six ou sept de largeur. Je possède de longues griffes et mes crocs aiguisés pourraient trancher la tête de n'importe qui.    

pouvoirs & faiblesses • (5 lignes) Le ciel m'a offert le don du feu, l'élément me caractérisant le plus. Je suis mon don, je bouge comme ce don, à chaque mouvement, chaque respiration. Pourtant, si je perd le contrôle, ce don, ce miracle, me consumera entièrement et me laissera que poussière.

Je peux devenir une torche humaine, mais pour deux minutes sous ma forme humaine – il m'est impossible de m'allumer complètement sous ma forme animal-, car sinon, mon corps brûle, boue et je risque probablement de crever moi-même. Pourtant, ce qui n'est pas très sympathique, c'est le fait que lorsque je suis en colère, et que je perd le contrôle, bah, vous devinerai de c'est ce sort qui démarre en premier et ensuite, bah, quand je suis en pétard, je me fou bien de crever ou non.

J'affectionne particulièrement les boule de feux et les petits tourbillons, m,ais tout cela me prend énormément d'énergie, ce qui n'est pas sympa si je tombe en plein combat comme c'est déjà arrivé*.

* lorsqu'il était jeune, avant la rencontre de Carter.

h i s t o i r e • (15 lignes) Le visage ténébreux de l'homme qui regardait mon visage avec admiration ne pouvait être comparé à quelque chose. C'était magnifique, magique. Sa langue caressant mon cou, aussi lentement pour que je décèle chaque sensation que mon corps émanait, me donnant d'énorme frissons. Ses mains traversant mon corps avec une tendresse inégalable comme si cette peau blanchâtre qu'était la mienne était un objet facilement cassable. Ces sensations sont devenus plus fort au cours de notre échanges de salive, nos langues s'entre-mêlant alors que sa main droite descendait vers le dernier vêtement qui me restait...


Le sentiment de ne pas se faire aimer par ceux qui nous ont donné la vie est quelque chose de difficile à accepter. Pourtant, voici comment mon enfance a toujours été. J'ai été battu par un homme qui était considéré comme mon père biologique, qui, n'a jamais été prouvé puisque je n'ai jamais eut ses traits. Je ressemble beaucoup plus à ma mère et on ne m'a jamais comparé à mon paternel. Ils étaient très souvent absents, me laissant crevé de faim, mais me punissant lorsque l'on me prenait à voler, car c'est ce que je devais faire pour manger, prendre la nourriture qui n'était pas la mienne et qui servait à nourrir une autre famille que ma personne qui ne déboursait pas un sous pour cela. Autrefois, cela me traversait souvent l'esprit puisque l'on me traitait de bon à rien tous les jours par tous ceux qui étaient dans le village où j'étais.

Revenons à Nadine, ma mère, et Kisume, mon père, qui n'était pas toujours présent dans les moments cruciales de ma vie. Disons que leur surveillance laissant fortement à désiré. En effet, ils n'ont pas remarqué mon absence de deux semaines, ou presque. Où étais-je? Mais c'est tout simple, on m'avait choisi moi, pour m'entraîner à ne plus mourir de faim en échange de quelque petits services comme.... Et bien faire parler certaines personnes qui étaient dans la cave avec des méthodes que je ne citerai pas ici, étant bien trop horrible. Je n'avais pas encore les facultés pour tuer une personne de mes propres mains, mais ce que je faisais me donnait assez d'argent pour survivre dans ce monde où les brebis se faisaient bouffer par les loups.

Après ces deux semaines d'apprentissage, j'eus rentrer chez moi et Kisume qui n'avait pas eut sa dose de tapage d'enfant -s'en étant pris à ma mère avant par ma faute- avait remarqué mon absence de, et je cite; « [...] ces deux derniers jours!?» Disons que j'avais enduré les coups en me disant que je pourrais probablement utiliser les techniques de tortures que j'avais appris pour me venger.

Pour la suite, vous devez comprendre que je n'ai pas vraiment été éduqué et que tout ce que j'ai fait durant cela, pour moi, même si je savais pertinemment que c'était mal, tout comme mon existence à ce moment, je devais survivre et c'était, pour moi, la meilleure et, surtout, la seule solution possible. J'ai été manipulé dans ce groupe et un homme, sans dire le nom pour ne pas me faire assassiner à mon tour par la suite, m'a fait croire que tout était un peu trop simple. Une fois ma puberté avancée et mes muscles décuplés, j'avais pu enfin toucher à un magot quand même important à mon âge qui était fort mince comparé à celui qui se faisait dans mon dos. Pour cela, je me devais de mettre fin aux jours d'un vieil homme plutôt riche qui allait léguer son héritage à sa femme qui était dans notre groupe. Le vieil homme appréciait les enfants et... le plan avait marché.... nous l'avions tué.... Pourtant, le sang sur mes mains ne voulait pas partir, je ne pouvais pas me débarrasser de l'image du vieil homme mourant, il me faisait confiance en quelque sorte. Pourtant, j'ai continué jusqu'à m'en faire un petit trésor que ma mère avait découvert et avait confisqué- et flamber tout pour son propre plaisir- peu de temps après mon contrat le plus dangereux. La rage était montée et je les avais tous les deux encastrés dans un mur avant de prendre le peu de chose que j'avais et partir de là. Je dormais dans la rue et volait, ces assassins n'ayant plus besoin de moi, mais me surveillant probablement toujours aujourd'hui pour être certain que je ne dise rien.

Un jour, je me suis fait un ami, légèrement plus grand, mais moins costaux que moi. Son corps blanc, svelte ne faisait qu'accentué les traits magnifiques de son visage. Cet ami, à la seconde où je l'ai vu pour la première fois, j'en suis tombé amoureux et même aujourd'hui, je ne saurais dire si je ne laisserais pas tout tomber pour lui. Carter était une personne très gentille, aidant toujours ceux qui en avaient besoin quitte à lui-même avoir des problèmes par la suite. Pourtant, il savait qu'il pouvait compter sur moi tous les jours s'il le voulait. Dans ce temps, j'aurais probablement tué quelqu'un pour lui sans hésitation s'il m'avait demandé de le faire. Ce fut la première personne à m'accepter comme j'étais, à me traiter comme une personne digne de ce nom et à me donne cette confiance que je n'avais jamais eu. Ce garçon aux cheveux noirs m'avait tout donné, absolument tout sauf le droit de l'aider. C'était un amour à sens unique, un amour qui ne pouvait pas, selon moi, être un jour partagé. Carter était comme la lune, on la voyait de loin, on était tous ébloui par lui, mais jamais on pouvait l'atteindre, pas comme ça. Enfin, ce fut ce que j'eus cru durant longtemps avant de m'apercevoir beaucoup plus tard qui il était vraiment.

Une particularité de Carter, c'est probablement le fait qu'il disait oui à tout. Peut-être était-ce un enchantement, mais je ne l'avais jamais entendu dire non. Alors un jour, j'eus pris mon courage à deux mains et je lui avoua mes sentiments, ayant préparé ma fierté à en prendre un coup. Alors que je pensais  qu'il allait se moquer dû au fait que je l'aimais lui, un garçon et qu'ensuite, je n'allais plus le revoir, le vent a tourné en ma faveur... Je me rappellerai toujours des mots qui sont sortis de sa bouche à ce moment, comme la plus belle musique qui puisse existé sur cette planète.

- J'attendais ça depuis tellement longtemps...

Suite à ses mots, une  douce caresse se conclut, le temps semblant s'arrêter, tout, sauf mon cœur qui ne faisait que battre de plus en plus vite et fort. J'avais peur qu'il  sorte de ma poitrine tellement je le ressentais contre mon sternum. Son sourire semblait amusé alors qu'il se penchait légèrement vers moi pour déposer ses lèvres sur les miennes, lentement, doucement comme si j'allais m'enfuir s'il était trop brusque. J'avais cette chance de pouvoir enfin l'aider, qu'il puisse compter sur moi, qu'il puisse voir qu'il n'était pas seul. Il avait donné un sens à ma vie, il avait tout fait pour moi et je me devais donc de lui rendre la pareil, non pas que mes sentiments n'étaient pas sincères. Au contraire,cette pensé n'avait fait que renforcer mon amour pour lui. Il me donna un toit, le sien.

La vie commençait à prendre un nouveau tournant et les amitiés commencèrent à s’additionné, puis à se multiplié. La vie n'était plus comme avant et plusieurs personnes commençaient à compter sur moi. J'étais en quelque sorte un leader, un chef pour eux. J'ai compris mon but dans cette vie: faire de ce monde un endroit pour tous, un monde où la discrimination ne serait pas présente, où j'allais choyer les personnes abandonnées... Je crois que j'avais perdu Carter de vu depuis que mon but sur terre était établi et je ne l'avais pas vu s'éloigner de moi à ce point.

Puis, les disputes ont commencé. Je n'aimais pas les disputes inutiles comme j'avais avec lui. Il ne voyait pas que je l'aimais, que je ferais tout pour lui et je crois bien qu'à ce moment précis, son masque de fer c'est brisé et son insécurité a pris le dessus. C'était la première fois que je me disputais aussi fortement avec lui et cela, je dois l'avouer, m'a brisé le cœur de le voir ainsi, aussi faible alors qu'il paraissait tant fier et fort. Je ne pouvais tout simplement pas le laisser ainsi et alors que je tentais de le calmer, de le rassurer et surtout de lui dire que je ne le laisserai pas, cet homme m'a dit une chose horrible sous l'effet que j'espère toujours que cela soit la colère.

- Je ne t'ai jamais aimé! J'ai seulement voulu te faire plaisir!

Le silence c'était incrusté dans les mur de cette maison. Je n'arrivais pas à croire ce que je venais d'entendre et ma rage bouillonnant comme ma tristesse me prouvait que c'était tout simplement trop beau pour être vrai. Il avait toujours été inaccessible et ce que j'eus trouvé le plus triste c'était bien que j'y avais cru, à cet amour stupide. De mon regard lasse je le regarda et dit avec une voix cassée :

- Je vais prendre mes choses et je ne te dérangerai plus dans ce cas.

Ce fut le cœur brisé et lourd que je pris mes quelques choses essentielles avant de partir chez un ami. Je voyais encore son visage confus, triste et dépité de me voir partir ainsi. S'il avait vraiment voulu que je reste à ses côtés, il m'aurait empêcher de partir.... non?  Je ne peux mentir qu'à ce moment, les larmes voulaient de déversée tranquillement le long de mes joues pour laisser sortir ce sentiment de tristesse d'avoir perdu l'être qui m'avait tout appris, qui m'avait tout donner. Pourtant, l'orgueil et mes principes m'empêchaient de pleurer comme je l'aurais voulu. Je n'étais pas faible et donc, je ne laisserai pas mes sentiments contrôler qui je suis.

Mes amis comprirent ma situation et rapidement, ils m'ont recueilli chacun leur tour, attendant que je finisse par me trouver un emploie stable qui ne nécessitait pas de tuer des gens comme je l'avais fait autrefois. Puis, je trouvai un petit boulot dans une taverne pas très loin de mon meilleur ami Abel. Puis, je déménageai dans un petit chez moi, où le feu d'une bonne clope animait mais soirée avec une jolie jeune fille dans les bras. On dit que les hommes cherchent du réconfort dans cette activité de nuit pour échapper à la souffrance d'un peine d'amour. Et bien, dans mon cas c'est véridique.

Durant trois ans je fus ainsi avant d'en avoir marre de ces belle fille sans cervelle, d'avoir peur de me poser avec quelqu'un. J'avais mes amis qui m'acceptaient comme j'étais et qui occupait mes soirées. Souvent, je me demandait pourquoi j'avais pas de sentiments amoureux pour les personnes qui faisaient de ma vie un paradis, mais si c'était plus que de l'amitié, ce ne serait probablement pas la même atmosphère.

Je ne serai jamais l'homme parfait, je ne serai jamais un ange, mais chaque jour, je me repentis en aidant ceux qui en ont besoin. L'argent que j'ai en surplus sur mon maigre salaire sert à cela. On me dit souvent que je suis trop naïf, que j'ai trop confiance aux autres, mais si l'on arrête d'avoir confiance en ceux qui nous sont chers, que deviendra-t-on?

Je suis Ukyo, 21 ans et je suis fier de ce que je suis devenu.