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Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée

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Aprilÿnne Applepïñk

Aprilÿnne Applepïñk

Messages : 13

Parchemin
Âge du personnage: 21 ans
Métier: Mercenaire
Topic de demande de RP:

MessageSujet: Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée EmptyMer 17 Juin - 20:36

• Lotti Baskerville, Pandora Hearts ©
p r é n o m • Aprïlÿnne
n o m • Applepïñk
s e x e • Féminin
â g e • 21 ans

g r o u p e •  Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée 2442589444
r a c e • Gemnikaä
p r o f e s s i o n • Mercenaire
MES INFORMATIONS PERSONNELLES ×

caractère & physique • (10 lignes)
Aprïlÿnne est une jeune femme assez petite, elle mesure à peine un mètre cinquante-huit, et, pour sa taille, elle n’est pas spécialement maigre. Si elle n’a pas une poitrine particulièrement volumineuse, ses cuisses sont bien rebondies, et son ventre, légèrement enflé, seulement sa démarche gracieuse ne lui donne pas l’air de se trainer, mais au contraire, d’avancer gracieusement. Cette contenance princière, seulement, est très vite contrebalancée par son langage, cultivé, certes, elle est en mesure d’employer le mot le plus pompeux uniquement pour affirmer sa supériorité, malheureusement elle est incapable de retenir les jurons, et le sarcasme, qu’on décrit, dans sa famille, comme une qualité sans charme dans la bouche d’une jeune fille ; elle fait claquer sa langue, et son éloquence, aussi aisément qu’un fouet, et ruine elle-même son propre propos en l’agrémentant d’insultes ou de vulgarité, qui la décrédibilisent parfois.
Sa grâce est teintée d’une langueur étrange, elle qui est pourtant si vive, et ses mouvements se font terriblement souvent maladroits. Elle a tendance à se blesser, ou à briser des objets malencontreusement, ce qui a toujours un impact très négatif sur son humeur…
L’arrogance, qui maintient son menton si haut levé lorsqu’elle marche, la pousse à croire que chaque brin d’herbe s’incline au sol pour la laisser passer, et que ceux qui ne sont pas en accord avec elle sont de pauvres imbéciles imbibés de rancœur et de convoitise. Ses gestes, sa façon de bouger les doigts, les bras, d’incliner la tête lorsqu’on lui parle, ses attitudes maniérées, correspondent particulièrement bien au personnage qu’elle est.
Ses lèvres couperosées, qui prononcent le plus souvent de vilains mots, cachent des gencives vermeil, et de jolies dents opalescentes, qu’on dirait presque alignées, si ses canines ne tentaient pas de prendre le pas sur leurs voisines d’ivoire, aussi blanches et dédaigneuses que les fleurs de lys.
Elle a des yeux, et des cheveux étranges, et étrangement assortis. Sa prunelle droite, d’un rose tendre, est particulièrement étrange, et sa jumelle, d’un beau bleu, aussi clair et vif que le ciel lors des grandes chaleurs, tout aussi irréelle, lui confère un regard plutôt étrange. S’il n’est pas particulièrement perçant, il met toutefois mal à l’aise ceux qui la fixent trop longuement.
Sa toison est donc de la même couleur que ses prunelles. Les cheveux au dessus de son crânes sont roses, plutôt pales, et ceux qui commencent à pousser à partir de ses oreilles sont d’essence bleue azuréenne.
Si Aprïl’ a très mauvais caractère, elle n’en demeure pas moins une personne sociable, délicieuse en apparence, et qui n’hésiterait pourtant pas à martyriser, humilier, piétiner, rentrer les globes oculaires, à l’aide de ses pouces, dans le crâne de ceux qui se mettront en travers de son chemin pour la grandeur.
Si elle a l’âme plutôt sombre, corrompue par l’avidité, la vanité, et ses accès belliqueux, elle revêt pourtant des vêtements frais, de coupe comme de couleur.
Pantalons, ou jupes courts et bouffants, corset serrés, blancs, roses, bleus, verts, elle aime porter des couleurs claires, mais vives, qui font ressortir son teint lactescent, le fard incarnadin de ses joues, ou de son petit nez droit.
Ses cils, longs et charbonneux, contrastent avec ses sourcils, mêlés de rose et d’azur, très clairs, presque invisibles, et fins. Cette ambivalence de teintes sur son petit minois en forme de cœur lui offre un air malléable. Elle peut aussi bien sembler sage, pure, qu’aguicheuse, ou même dangereuse. La colère, lorsqu’elle déforme ses traits, lui sied particulièrement car, de naturel ombrageux, elle la connait aussi bien qu’une ancienne compagne de voyage.
Lorsqu’elle est inquiète, ou pensive, elle joue avec ses doigts, et lorsqu’elle est furieuse, elle a tendance à se gratter l’avant bras droit, de la main gauche, de façon si acharnée qu’elle réussit à y faire perler quelques larmes rubescentes, qui tachent ses ongles, et ses mains fines, aux longs doigts délicats. Des mains d’artiste, et pourtant, d’artiste empotée. Incapable d’émettre le moindre son harmonieux, qu’il s’agisse d’un instrument de musique, ou de sa voix, basse, pourtant si veloutée lorsqu’elle s’exprime avec rage… Et elle ne connait rien à l’art pictural. Elle aime coucher des vers sur le papier, y possède probablement un certain talent – elle le saurait si elle partageait ses écris – mais n’y voit pas particulièrement d’intérêt. Elle aime beaucoup, en revanche, lire avec application, à plusieurs reprises, ce que d’autres font éditer, et accorde une importance toute particulière à parfaire sa culture, tant historique et géographique, que littéraire et artistique.
Au-delà de cet aspect romantique, elle a des aspirations bien plus terre à terre, qui brisent le charme de sa personne érudite et éloquente… Elle souhaite par-dessus tout avoir du pouvoir. Décider, diriger… Elle en est peut être capable, ou peut être pas, elle serait capable d’incendier un royaume, si elle pouvait régner sur des cendres.
Elle met un point d’honneur à n’avoir aucune morale pour entraver ses instincts et désirs, aucune pitié pour les plus faibles, et uniquement un respect détaché de ceux qui se trouvent au sommet, qu’elle affirme être en mesure de côtoyer un jour.
Elle aime par-dessus-tout manger sucré, les fraises sont de ce fait son aliment et son parfum de prédilection, fraiches, de couleur vive, acidulées… Et elle adore les chats… Dédaigneux et solitaires, ils sont capables de vivre seuls, leur pelage doux, et beau, n’est qu’un piège… On tente de les caresser, et alors, ils referment leurs crocs opalins sur la peau tendre de leur victime, leurs griffes cruelles qui déchirent la peau comme on déchire du papier de soie.  
La gemme sur son front qui, sans aucune surprise, est d’un vermillon incandescent, témoigne de ses affiliations particulières avec le feu, aussi vif et ardent que son tempérament exécrable.
Elle n’a d’autre philosophie que celle qui lui chuchote langoureusement « fais ce qui te plaira » à l’oreille, et s’y tient parfaitement, car après tout, le meilleur moyen de se libérer de la tentation… N’est-ce pas d’y céder ?
MA DESCRIPTION DES POUVOIRS ×

pouvoirs & faiblesses • (5 lignes) La demoiselle n’a qu’une maîtrise très limitée de son art. En effet, la gemme andrinople qui orne royalement son front, à la manière d’une couronne, est fendillée en son cœur, d’une brisure, discrète, certes, mais qui n’est pas sans impact sur son pouvoir, qui devrait pourtant être destructeur.
En effet, au lieu d’être susceptible de déverser des gerbes de lave bouillonnantes aux pieds de ses adversaires, elle n’est capable que de petits tours de passe-passe, que tout un chacun dirait indigne d’une Gemnikaä, même âgée de cinq ans, et incapable de marcher droit.
Si son affiliation au feu maintient son corps à une température largement décente, et qu’elle est habile  pour enflammer des bouts de bois humides, elle est bien loin d’être une magicienne hors pair…
Si elle aime enflammer tout son corps pour faire forte impression, ou que, de rage, elle ne contrôle pas la puissance, qui fait s’embraser sa tignasse, elle ne peut gérer longtemps l’utilisation du pouvoir, qui lui coûte une certaine somme d’énergie.
De peur de rester coincée sous forme animale, ou même en pleine mutation, elle évite de laisser place à celui-ci, elle ne l’a d’ailleurs jamais tenté, et ne sait donc pas, à son plus grand regret, à quoi il correspond.
Pour remédier à cette faiblesse, elle s’impose un entrainement sportif quotidien, afin de développer ses techniques de combat, rapproché, et sa discrétion, sa capacité à agir vite, en silence, sans laisser de traces.
DÉCOUVERTE DE MON HISTOIRE ×

h i s t o i r e • (15 lignes) Agée de trois ans, la petite April, bien que rondouillette, et plutôt empaffée, courrait déjà partout, autour des meubles, des chaises, des jambes des adultes. Ses babillements, la plupart du temps incompréhensibles, n’étaient adressés qu’à sa petite personne, puisque lorsqu’elle désirait quelque chose, elle l’exprimait clairement, de sa petite voix nasillarde et insupportable d’enfant, la plupart du temps en pointant, du bout d’un ridiculement petit doigt potelé l’objet de sa convoitise.
Sa mère la réprimandait, lorsqu’elle réclamait, ou qu’elle montrait ainsi, arguant qu’il s’agissait d’un geste impoli, mais son père avait tendance à céder à tous ses caprices enfantins.
Elle avait déjà une démarche rapide, quoique légèrement branlante, il lui arrivait souvent de marcher sur ses propres pieds, et de s’étaler bêtement au sol, mais, déjà très obstinée à l’époque, se relevait majoritairement seule, avec ses petits bras maladroits.
Ses joues roses, rebondies, et collantes, étaient la plupart du temps maculées de fraises, ou de confiture de fraise, ainsi que du sucre de diverses cochonneries du même genre, qu’elle adorait dérober dans la cuisine, et pour qui elle offrait les plus belles risettes.
Avec ses petites couettes roses, elle offrait un visage des plus innocents et angéliques aux visiteurs, et amis de la famille, qui ne tardaient pas à tomber sous le charme irrésistible d’un joli minois, d’un tout petit nez, d’oreilles miniatures barbouillés de cendre, d’herbe, de terre, de joues roses et luisantes, bien épaisses, et tendres, ses petits sourcils froncés adorablement.

Souvent, ses parents recevaient des amis Gemnikaäs, qui avaient eux aussi un fils, mais il n’intéressait nullement Aprïlÿnne, qui le jugeait trop vieux, et ainsi, indigne de son intérêt, sauf lorsqu’il s’agissait de le faire accuser de ses bêtises, gronder pour ses forfaits, ou tout simplement, lorsqu’elle pouvait ruiner les jouets qu’il avait entre les doigts. En véritable peste qui se respectait, elle le faisait aussitôt accuser, et lorsqu’il se vengeait, d’un coup de dent, ou de poing bien mérité, elle se mettait à pleurer à gros sanglots, attirant immédiatement leurs géniteurs respectifs, qui sermonnaient l’autre enfant sans chercher à comprendre ce qui l’avait poussé à la violence.
La plupart du temps, la sanction était légère, s’excuser, baragouiner des phrases toutes prêtes, et lui faire un bisou sur la joue. Répugnant.
Elle n’appréciait pas particulièrement ce type de contact physique, cependant force était d’admettre qu’il détestait ça plus que quiconque, ce qui rendait la punition jouissive.

Bien que sa cadette, elle aimait martyriser Lucas, mais lui laissait, de temps à autres, un répits non mérité, lorsqu’elle allait gambader à l’autre bout de la cuisine pour quémander un morceau de gâteau, ou une sucrerie. Seulement, il arrivait que Lucas la suive, de sa démarche plus assurée, pour aller faire de même.
Un jour, terriblement empressée de retourner à ses occupations fascinantes d’enfant de quatre ans, alors que lui en avait huit, elle lui fonça dedans avec tant de force qu’ils tombèrent tous les deux sur le sol.
Elle sentit un échos bizarre à sa douleur sur les fesses, et un picotement à son front, où une petite gemme couperose commençait seulement à s’épanouir.
Au plus grand désespoir de ses deux parents, elle se mit à saigner, et demeura inconsciente sept jours durant, ressentant tout de même, à l’occasion, des douleurs qu’elle ne pouvait s’infliger d’elle-même, comme par exemple la brûlure lorsqu’on râpe son coude en tombant sur un sol caillouteux…

Lorsqu’elle ouvrit les yeux, et ne manifesta aucun signe de trouble psychologique ou moteur, tout le monde fut soulagé seulement on constata bien vite que le joyau sur son front était anormalement terne, et après quelques études, on découvrit la brisure qu’il se dessinait en son cœur. Les médecins conseillèrent aux parents d’Aprïlÿnne d’éviter autant que possible de la faire user de magie, afin qu’elle ne se blesse pas, ou qu’elle ne vide pas ses réserves d’énergie, ce qui ne s’avéra pas nécessairement ardu : elle n’était pas attirée par le pouvoir qui dormait tranquillement dans sa gemme, puisque ses occupations s’arrêtaient à torturer de petits êtres vivants, arracher les pattes aux araignées et aux mouches, couper les orvets en deux… Et poser son petit museau barbouillé sur un livre, qu’elle dévorait de plus en plus rapidement.

En grandissant, la jeune fille développa une intelligence acérée, une éloquence qu’elle tirait des livres qu’elle achevait, qui s’entassaient par piles sur le bureau d’acajou de son père… Et elle devint pire peste encore qu’elle ne l’était enfant.
Sa mère les quitta, sans qu’elle sache pourquoi, et son père reporta tout son amour sur sa personne. Il continua à fréquenter les parents de Lucas, qu’Aprïl croisait, deux ou trois fois l’an, et prenait toujours plaisir à rabaisser, et à martyriser.
Enfant trop gâtée par un géniteur dont elle était l’unique trésor, elle refusât qu’on lui dise « non », ou qu’on l’ignore, persuadée d’être la plus importante, par une éducation trop laxiste… Et cela ne fit qu’empirer avec l’âge.

Un jour, alors qu’on donnait une fête, à laquelle étaient convié la famille d’Aprïl, et celle de Lucas, où ils furent tout deux obligés de venir, elle décidait de passer la soirée à lire, atteinte d’une légère fièvre qui la fatiguait.
Elle avait quinze ans, et était habillée spécialement pour l’occasion d’une robe légère, malgré la fraicheur de la nuit, d’un blanc pur et immaculé. Assis à ses côtés pour le repas, le pauvre Lucas, qui évitait de la contrarier afin de passer inaperçu, profitant de la magnanimité de la jeune fille, fit pourtant une bourde des plus regrettables en renversant malencontreusement son verre de vin, d’un rouge purpurin, sur le corsage de la robe qui se tacha immédiatement.
Elle resta calme, pragmatique, et, en lui lançant un regard très sombre, fit à peu près de même, à la différence que le verre était plein, car elle n’y avait pas touché, et qu’elle le renversa à même la tignasse du garçon, qui se mit à goutter de petites perles lie-de-vin sur ses vêtements du dimanche.
Elle n’apprit pas s’il fut sévèrement réprimandé par ses parents, mais son père à elle s’occupa uniquement de lui trouver de quoi couvrir le corsage taché, et s’assura qu’elle n’avait pas froid, ou faim, avant de retourner s’installer à sa place.

Ce ne fut pas la seule chemise qu’elle ruina cruellement, la seule fois où elle repoussait la responsabilité sur sa victime favorite, mais ils se croisèrent de moins en moins au détour d’une cuisine, ou d’un bal, April était constamment occupée à développer des capacités en mesure de compenser celles qu’elle avait perdues lorsque Lucas lui avait foncé dessus.
Manipulatrice, gracieuse, silencieuse, elle parvint rapidement à espionner les conversations de certains sans se faire repérer, à dérober, à plusieurs reprises, quelques artefacts sans valeurs, et qu’elle ne gardait jamais, pour s’entrainer.

Cependant restait un détail réellement important : la douleur. Il arrivait, bien trop souvent à son gout, alors qu’elle était allongée, en train de lire, qu’elle ressente un sentiment, ou une souffrance, qu’elle ne pouvait pas contracter d’elle-même…

Si elle ne savait ni d’où cela venait, ni pourquoi, elle se contentait de serrer les dents et d’attendre, s’endurcissant ainsi à la douleur… Afin de parfaire un entrainement la menant à une carrière prometteuse de mercenaire, exercée sans pitié ou compassion…

VOICI MA PETITE HISTOIRE ×


p r é n o m • Axelle-Rose
â g e • Bientôt 17 ans

d é c o u v e r t e  d u  f o r u m  ? • Ozinocorne Sandwich
c o d e • [Validés par le Duc de la Noria]

° CODAGE PAR DITA | EPICODE °


Dernière édition par Aprilÿnne Applepïñk le Jeu 18 Juin - 2:44, édité 10 fois
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Haruka Nanase

Haruka Nanase

Messages : 37

Parchemin
Âge du personnage: 19 ans
Métier: Voleur
Topic de demande de RP:

MessageSujet: Re: Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée EmptyMer 17 Juin - 21:35

Bienvenue ~
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Aprilÿnne Applepïñk

Aprilÿnne Applepïñk

Messages : 13

Parchemin
Âge du personnage: 21 ans
Métier: Mercenaire
Topic de demande de RP:

MessageSujet: Re: Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée EmptyJeu 18 Juin - 2:57

Merci beaucoup ! Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée 2390393327
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Underneath L. O. Eutrope

Underneath L. O. Eutrope

Messages : 75

Parchemin
Âge du personnage: Facilement ? 1 million d'années.
Métier: Duc du Nord (Terres de la Noria)
Topic de demande de RP: https://le-monde-de-zelia.forumgratuit.be/t76-les-dames-d-abord#332

MessageSujet: Re: Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée EmptyJeu 18 Juin - 3:16

Bienvenue <3
Je suis tellement contente de voir nos persos ressusciter après si longtemps Very Happy. En plus j'aime beaucoup ta présentation elle est très bien écrite comme toujours <3. Vivement notre premier Rp *^*.
Je valide tout est bon !
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MessageSujet: Re: Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée Empty

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Aprïlÿnne Applepïñk - Terminée

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